PIANOS ESTHER

La plus ancienne maison de pianos de Wallonie

 


Éviter de payer une commission cachée lors de l'achat d'un piano


Le système des commissions :

Au XIXème siècle, il était normal que le professeur de musique qui exerçait dans une riche famille bourgeoise touche une commission lors de l'achat d'un instrument. Le professeur de piano était alors un véritable trait d'union entre le fabricant-vendeur et le particulier-acheteur. Cette pratique a perduré... par tradition. Elle s'est perdue dans les dernières décades du XXème siècle puisqu'elle n'avait plus de raison d'être.

Malheureusement, quelques vendeurs de pianos ont réintroduit cette pratique.

Cette pratique est profondément malhonnête car :

  • elle est cachée à l'acheteur (qui paie donc plus cher)
  • elle met en place un système celé et faussé (la suggestion d'aller acheter un piano chez X ou Y est motivée par la rétribution d'une commission)
  • le conseil donné sur la marque du piano ne tient pas compte de la réalité des qualités de l'instrument (ainsi sont conseillés des instruments comme par exemple les bas de gamme Yamaha, faibles et trop chers). Voire aussi dans ce registre les tests orientés de revues comme Diapason et alii qui sont en réalité des publicités : le reseau de distribution Les Maîtres du Piano met ainsi en valeur ses propres pianos avec des arguments qui ne tiennent pas la route.
  • elle va à l'encontre de l'éthique
  • elle développe une concurrence déloyale.
  • Une solution pour éviter cette arnaque : si vous achetez vraiment un piano chez X ou Y, faites lui signer une déclaration sur l'honneur comme quoi votre achat n'est pas lié au paiement d'une quelconque commission ou à un avantage à un tiers...

    Tout ceci à l'envers de la célèbre phrase de Stendhal : "Qui ne sait celer, ne sait aimer". Ou à l'endroit de celle de La Rochefoucauld : "On donne des conseils, mais on n'inspire point de conduite".



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